Historique
Bien qu’occupé depuis les temps préhistoriques, ce n’est qu’au Moyen Âge que le village de LA BACHELLERIE apparaît sous le nom de Cern puisque le village se trouvait alors aux bords du cours d’eau. Mais celui-ci a disparu durant la guerre de Cent Ans, incendié, il fut reconstruit sur les hauteurs.
C’est alors, en 1466, qu’est reconnu le nom de LA BACHELLERIE, probablement issu d’un nom de personne (Bachelier). François 1er, en octobre 1538, accorde au seigneur de Rastignac la création d’une foire le 22 juillet de chaque année. En 1638, Louis XIII crée trois fêtes à la Saint-Martin, au jour des Rois et à la mi-carême du fait de l’importance du village situé au carrefour de deux Routes Royales – anciennes voies romaines, de Bordeaux à Lyon et de Limoges à Cahors.
Le 19ème siècle connut trois événements importants. En premier lieu, la construction sur les vestiges de la forteresse féodale du château de Rastignac, frère jumeau de la «Maison Blanche» de Washington. Plus tard en 1855, c’est l’église romane qui, menancant ruine, fut rasée puis remplacée par l’église actuelle. Mais le troisième événement de cette fin du 19ème fut sans conteste plus douloureux et constitue un bouleversement fondamental de l’économie rurale de l’époque. En effet, pour ce bourg important, qui fut même chef-lieu de canton durant la Révolution, la ressource économique principale était la viticulture, aussi l’arrivée du phylloxera plongea le village dans une crise profonde. Ainsi, entre 1885 et 1888, 400 habitants prirent le train pour s’exiler vers le Brésil ou l’Argentine.
Triste souvenir, aussi, fut ce 30 mars 1944 où les soldats de la division Brehmer incendièrent le château avant de fusiller 15 personnes dont 2 enfants. La gendarmerie fut, quant à elle, incendiée le 12 juin 1944.
C’est alors, en 1466, qu’est reconnu le nom de LA BACHELLERIE, probablement issu d’un nom de personne (Bachelier). François 1er, en octobre 1538, accorde au seigneur de Rastignac la création d’une foire le 22 juillet de chaque année. En 1638, Louis XIII crée trois fêtes à la Saint-Martin, au jour des Rois et à la mi-carême du fait de l’importance du village situé au carrefour de deux Routes Royales – anciennes voies romaines, de Bordeaux à Lyon et de Limoges à Cahors.
Le 19ème siècle connut trois événements importants. En premier lieu, la construction sur les vestiges de la forteresse féodale du château de Rastignac, frère jumeau de la «Maison Blanche» de Washington. Plus tard en 1855, c’est l’église romane qui, menancant ruine, fut rasée puis remplacée par l’église actuelle. Mais le troisième événement de cette fin du 19ème fut sans conteste plus douloureux et constitue un bouleversement fondamental de l’économie rurale de l’époque. En effet, pour ce bourg important, qui fut même chef-lieu de canton durant la Révolution, la ressource économique principale était la viticulture, aussi l’arrivée du phylloxera plongea le village dans une crise profonde. Ainsi, entre 1885 et 1888, 400 habitants prirent le train pour s’exiler vers le Brésil ou l’Argentine.
Triste souvenir, aussi, fut ce 30 mars 1944 où les soldats de la division Brehmer incendièrent le château avant de fusiller 15 personnes dont 2 enfants. La gendarmerie fut, quant à elle, incendiée le 12 juin 1944.
Histoire du nom des rues
Un fascicule intitulé « Histoire du nom des rues » est disponible gratuitement à la Mairie et à la Bibliothèque municipale depuis le 30 juillet 2013.